Entrée discrète

Une silhouette passa la lourde porte de bois de l'auberge. Encapuchonner sous un manteau noir épais et son arc sur son épaule, Aridna se faufila le plus discrètement possible vers une des tables du fond. La plus part des clients présent ne semblaient pas l'avoir remarquer, mais certains yeux c'étaient tout de même tourner vers elle. Se calant sur le mur de fond, la femme attendit patiemment que le tavernier ou un de ces employer vienne la voir.
*Je ne suis pas presser de toute façon.*
Aridna jeta un coup d’œil à l'assembler dans la salle. La plus part semblait être des ivrognes qui avaient de la difficulté à se tenir sur leur deux jambes, tandis que d'autre, faisait le clown pour amuser la galerie et certain comme elle, c'étaient retirer pour laisser la place aux bouffons. Enfin quelqu'un arriva à sa hauteur. C'était un homme plutôt costaud qui lui sembla être l'aubergiste.

-Que puis-je vous servir?

-Une bière et je voudrais une chambre pour la nuit, lui demanda la femme, le visage toujours couvert.

Sans plus un mots, l’aubergiste se détourna d’elle et reparti comme il était venu. Aridna regarda une fois de plus l’assembler. Étrangement, la femme sentie que quelqu’un la regardait, sans qu’elle ne le voit. Sa recherche fut interrompu par le tavernier qui lui ramenait sa bière et le numéro de sa chambre. Elle paya l’homme qui retourna à sa besogne. Elle entama sa première gorger, quand elle vit la porte s’ouvrir. Cacher par les nombreuses personnes dans la salle, elle ne vit pas l’homme qui venait d’entré.

Invité

Le soir tombait, Terredia décida de partir vers L'auberge de l'ours Endormi.
Quand il fut arrivé, il accrocha les sangles du cheval sur un poteau.
Terredia passa furtivement sa tête par la fenêtre: il vit la belle jeune dame au collier assis sur une table en bois.

Il resta les yeux fixés sur elle.
Quand soudain elle se tourna vers lui. Terredia se baissa.
Après avoir bien observé cette déesse de la beauté, il poussa la porte.
Encapuchonné par sa cape, il se faufila dans la foule.
Terredia se lança en direction de la fougueuse jeune fille...

Il s'approcha de la table et demanda à la demoiselle:

"-Puis-je m'asseoir, il n'y a plus de place. (Pour lui)

Merci..."

Quand Terredia fut installé, Terredia enleva sa capuche et il commanda une bière.
Terredia s'adressa à la jeune fille:

"-C'est vous la damoiselle que j'ai croisé hier, dans la rue??

Je m'appelle Terredia Aioros, je suis un Rôdeur travaillant pour l'Empereur en tant que soldat.
Et vous? Qui êtes vous? Une belle dame avec un arc sculpter par mesure avec une beauté invraisemblable, je n'en vois pas tout les jours"

Aridna n'avait pas remarquer l'homme qui la regardait derrière la fenêtre non loin d'elle. Elle avait plutôt continuer à scruter la salle. Puis, l'homme qu'elle avait eu l'honneur de croiser dans les rues de la ciét plus tôt était venu vers elle.

"-Puis-je m'asseoir, il n'y a plus de place.

Pendant quelques secondes, la femme n'avait rien dit, elle se contentait de regarder l'homme.

-Vous pouvez prendre place si c'est ce que vous désirez.

Il avait alors demander à boire et avait retirer le tissu qui recouvrait son crâne. Par politesse Aridna fit de même.

"-C'est vous la damoiselle que j'ai croisé hier, dans la rue??

Je m'appelle Terredia Aioros, je suis un Rôdeur travaillant pour l'Empereur en tant que soldat.
Et vous? Qui êtes vous? Une belle dame avec un arc sculpter par mesure avec une beauté invraisemblable, je n'en vois pas tout les jours"

-Oui, c'était bien, moi, je me souviens également de vous. Quant à moi, je me nomme Aridna Irel, je ne travaille que pour moi et personne d'autre. Je vous remerci encore une fois pour m'avoir rendu mon colier, ce n'est pas tout le monde qui aurait fait de même. Que me vaut votre charmante compagnie dites moi et ne me dites pas que ce n'est que parce qu'il n'y a plus de sièges disponibles.

Invité

-Oui, c'était bien, moi, je me souviens également de vous. Quant à moi, je me nomme Aridna Irel, je ne travaille que pour moi et personne d'autre. Je vous remerci encore une fois pour m'avoir rendu mon collier, ce n'est pas tout le monde qui aurait fait de même. Que me vaut votre charmante compagnie dites moi et ne me dites pas que ce n'est que parce qu'il n'y a plus de sièges disponibles.

« -Je fais que passé… Et toi pourquoi viens tu ici dans cette auberge ? »

Quand Terredia posa la question, il se rapprochait furtivement de Aridna.
Plus il discutait, plus Terredia se rapprochait de Aridna.

Terredia donna deux pièces de bronzes à l’aubergiste.
Il apporta deux bières…
L’homme regardait attentivement la jeune femme boire sa bière.
Terredia prit la bière est en but une gorgée.
Elle était fraîche, un peu acide mais très bonne.
Ils discutèrent très longtemps.
Quand Terredia fut juste à coté d’elle le cœur serrait, il regarda Aridna dans les yeux et dit :

« Heu, Aridna, je t’ai………. Je t'a..."

Il hésita avant de répondre

Veux-tu continué la discussion dans ma chambre?? »

Il fit un sourire forcé à Aridna et partit en direction de sa chambre.
Terredia fut gêné.
Il monta dans sa chambre, s'assis sur le lit et attendait la décision D'Aridna.

C’était la première fois qu’il ressentait ça : L’amour…

« -Je fais que passé… Et toi pourquoi viens tu ici dans cette auberge ? »

-Un passant m'a dit que cette auberge avait une bonne réputation. Comme je cherchais un endroit où dormir ce soir, j'en convenue de venir ici.

Tout en parlant, Aridna voyait bien que Terredia, s'approchait de plus en plus près d'elle, mais elle ne fit rien pour l'en empêcher. Puis l'aubergiste leur rapporta deux autres bières. La femme écoutait avec attention les paroles de l'homme tout en sirotant sa bière et en regardant Terredia se rapprocher toujours plus, ce qui lui étira un sourire. Leur corps pouvait maintenant presque ce toucher tellement il c'était approcher. Le certain mal aise de Terredia lui donna envie de rire, mais elle n'en fit rien.

« Heu, Aridna, je t’ai………. Je t'a..."

Aridna attendit qu'il complete sa phrase, ce qu'il ne fit pas.

Veux-tu continué la discussion dans ma chambre?? »

Avant même qu'elle ne dis quoi que ce soit, il c'était déjà lever et montait les marches vers les chambres. La femme déposa sa bière sur la table et le suivit. Elle le découvrit assis sur un lit qui lui sembla être assez confortable à comparer de d'autre qu'elle avait déjà vu. Aridna prit place près de Terredia, peut-être un peu trop près car l'homme semblait encore plus mal à l'aise.

-Est-ce que quelque chose ne va pas Terredia, vous semblez mal à l'aise. Est-ce que vous préféré que je vous laisse?

Invité

« -Est-ce que quelque chose ne va pas Terredia, vous semblez mal à l'aise. Est-ce que vous préféré que je vous laisse?

-Non Aridna tout va bien ! Je suis juste un peu fatigué. Restez ! »

Terredia prit le poigné d'Aridna pour la retenir.

« - Aridna, tu ressemble à une Rôdeuse avec ton arc ?? En es tu une ??

Ils discutèrent jusqu’à tard dans la nuit…

Terredia fatigué par cette journée commençait à cligner des yeux.
A trois heures, Terredia dit à la belle jeune fille :

« - Bon, je pense que notre belle journée est finit, leurs de nos au revoir approchent. »

Terredia hésita et se lança.
Il se rapprocha doucement de la bouche d’Aridna. Le stress monta en lui. Seul elle avait le pouvoir de décider de l’embrasser…

-Non Aridna tout va bien ! Je suis juste un peu fatigué. Restez ! »

La femme c'était attendu à ce que Terredia, ne la laisse pas partir. Elle le voyait bien dans ces yeux, le désir. Comme pour être sur qu'elle reste il lui avait saisit le poignet. Le contact de la peau chaude de l'homme sur la sienne fit parcourir un frisson dans son dos. Jamais un homme ne l'avait touché avant, sauf son défunt père, et encore.

« - Aridna, tu ressemble à une Rôdeuse avec ton arc ?? En es tu une ??

- Je suis effectivement une rôdeuse tout comme toi.

Puis ils avaient parler une bonne partie de la nuit. Tranquillement, la fatigue avait commencer à prendre place parmi les deux êtres. Aridna voyait que les yeux de Terredia se fermaient plus fréquemment, et elle aussi commençait à sentir que ses paupières devenaient plus lourdes.

« - Bon, je pense que notre belle journée est finit, leurs de nos au revoir approchent. »

-Il commence effectivement à ce faire tard. Je vous remercie d'avoir égailler ma soirée Terredia.

Sans se précipiter, Terredia c'était approcher d'elle. Leur deux visages n'étaient plus très éloigné l'un de l'autre. Le cœur de la femme s'accéléra. Leur bouches étaient tellement près, peut-être trop près à son goût. Pourtant, elle ne bougea pas et ferma plutôt ses yeux. Leur lèvres entrèrent alors en contact et ils s'embrassèrent. Aridna se laissa bercer par le doux sentiments que Terredia faisait naître en elle. Presque avec regret, leur deux bouches se séparèrent. Comme si elle venait de faire une erreur, la femme se leva du lit et se dirigea vers la porte de la chambre. Elle poussa la porte de bois et se tourna vers Terredia.

-Bonne nuit Terredia, au plaisir de te revoir.

C'est un sourire aux lèvres qu'elle quitta l'homme. La femme ferma la porte derrière elle et s'y appuya le souffle court. Une émotion étrange venait de naître en elle, une émotion qu'elle n'avait jamais ressentie avant. Une partie d'elle espérait que Terredia ouvre la porte et la prenne dans ces bras, tandis qu'une autre voulait fuir. Elle resta à la porte, repensant au baiser de l'homme.

Invité

Leurs lèvres entrèrent alors en contact…
C’était la plus belle aventure, la plus belle chose du monde.
Ce baiser l’avait désorienté.
Terredia resta longtemps le regard fixé sur elle.
Aridna posa délicatement la main sur sa jambe et se leva.

«-Bonne nuit Terredia, au plaisir de te revoir.

- Fait de beau rêve, Aridna. »

Ils s’échangèrent un dernier sourire avant qu’elle disparaisse dans le couloir.
Terredia s’affala sur le lit comblé de bonheur…

« - Oh oui, je vais passé une bonne nuit !! Soupira-t-il »

Il se posa une question.
Depuis le début Terredia ressentait quelque chose pour elle mais Aridna l’aimait-t-il??

Le Rôdeur s’endormit prit d'une fatigue soudaine...

La femme, qui après pendant plusieurs minutes n'avait pas bougée toujours adosser à la porte de la chambre de Terredia, se décida enfin à aller dans la sienne. Quand elle poussa la porte, elle découvrit que le décor était le même que dans celle de l'homme. Aridna s'approcha du lit et prit place de la même manière que quelques minutes plus tôt. Puis, la scène du baiser rejoua en boucle dans sa tête. L'émotion qu'elle avait ressente resurgit en elle comme une douce chaleur apaisante. Jamais au paravent la femme n'avait ressenti cette émotion si douce dans son cœur. Elle avait pourtant souvent entendu parler.

*Est-ce bien ça l'amour?*

La tête remplie de questions, Aridna s'endormie dans un sommeil profond. Avant de s'endormir complètement, elle souffla une phrase, comme si Terredia pouvait l'entendre

-Ne t'inquiète pas, je vais faire de très beaux rêves, surtout si tu en fais parti.

Puis le noir...

Le lendemain malgré que sa nuit avait été assez courte, Aridna c'était lever tôt. Elle s'habilla rapidement, prit ses effets et quitta l'auberge.

Invité

Vers dix heures Terredia se leva.
Il rangea ses affaires.
Il prit le temps de remettre sa ceinture et d'accrochait son épée.

Le Rôdeur sortit de la chambre, marcha jusqu'à la porte d'Aridna et frappa trois coups sec.
Quelques minutes plus tard, Terredia décida d'entrer de force dans la pièce de peur qu'elle lui était arrivé quelques choses.

Il donna un coup d'épaule et la porte tomba.
Il remarqua que Aridna était partit.

Terredia descendit, en courant, les escaliers et sortit dehors.
Prit d'une rage soudaine, le Rôdeur frappa son poing contre le mur de l'auberge et cria de toutes ses forces. Il s’assit par terre, le cœur séré.

"-Elle est partit...murmura-t-il."

Terredia détacha son cheval, remit sa selle et sauta sur son dos.
Le Rôdeur partit en direction de la caserne.