Après quelques heures de sommeil, il repartit en quête d’aventure.
Dès arrivé à l’Ouest de la Foret, les attaques commencèrent.
Un monstre apparut, sauta en l’air et griffa l’épaule de Terredia.
Le Rôdeur observait sa blessure : la peau du jeune homme était partie et du sang sortait de l’épaule.
Terredia était attaqué par un énorme loup, haut de deux mètres.
La bête avait d’immenses crocs.
Le Rôdeur sauta sur la bête et lui planta sa lame dans le dos.
Le loup se débâtit pendant quelques minutes avant de tomber au sol, mort.
Terredia retira la lame du corps du monstre, prit sa carte et repartit.
Au bout de trois heures de marche, il trouva un chemin menant aux portes de la cité.
Terredia s’avança. Dix brigands surgissent de la Foret. Deux avaient des arcs, six des épées et les autres de simples poignards. Les hommes étaient à trois mètres de Terredia.
Le Rôdeur sortit son arc, encocha et tira deux flèches en même temps. Un archer tomba au sol et un des brigands possédant une épée reçue la seconde flèche dans l’épaule.
L’un des brigands prit la parole :
« -Donne moi ton arc et ton épée !! Tu auras la vie sauve !
-Non !
-Mauvaise réponse, répondit le brigand.
Terredia sortit son épée de son fourreau et là commença le massacre.
Les brigands s’approchèrent du Rôdeur, lames en avant. Le Rôdeur planta sa lame dans le cœur d’un de ses adversaires tout en esquivant une épée. Tous les brigands sautèrent sur Terredia en même temps. L’homme en tua trois. Mais un des brigands l’assomma.
Quelques heures plus tard, il se réveilla ligoté.
Un brigand s’approcha de lui. Il avait un bandage sur l’épaule.
L’homme gifla Terredia :
« -Bouffon, on te vendra comme esclave. »
Un rire ironique sortit de la bouche du brigand.
La hargne toucha l’homme ligoté.
Un poignard était à coté de lui, il s’en saisit et découpa ces liens.
Il lança le poignard dans la gorge de l’homme.
Terredia prit son arc, son épée, et s’enfuit, blessé.